Pour la flamme torride, la douleur se travestit, jouant à pile ou face, l’effondrement des corps. Cette corolle inconnue dépoétise la parole émue, des mots infectés du pire. Où meurt la mélancolie, la vie fécondée dans l’exil, une porte ouverte sur la nuit, ce déchirement dans un cri.
On a tous une Némésis en soi. La différence entre l’optimiste et le pessimiste, est que ce dernier la conçoit quand le premier ne fait que l'entrevoir sans jamais l'affronter...
Tous les textes hébergés par La
Passion des Poèmes sont protégés par les lois
de la protection des droits d'auteurs ainsi que par des traités
internationaux. Il est strictement interdit de distribuer, d'afficher
ou d'utiliser ces textes de quelque manière sans l'autorisation
de l'auteur du texte en question.