J’ai vu s’enfuir les jours aux saisons endeuillées, Faner tous les soleils des planètes brûlées, S’envoler les idées de pensées obscurcies, Trembler les fondations de tous les endurcis…
J’ai vu des ciels d’été s’amouracher d’hivers, La lave des volcans irriguer les déserts, Les vents tourbillonnants se moquer des frontières, Un vol de goélands se perdre en pleine mer…
J’ai vu les mains tendues en de vaines prières, Les lendemains perdus en attente d’hier, Les rêves déposés dans tous les cimetières, La liberté violée par tous les va-t-en-guerre…
Et puis j’ai vu tes yeux m’inonder de lumière, Tes cheveux d’épis d’or caresser tout mon corps, Tes lèvres fruits sucrés se poser sur mes terres, Enfin j’ai vu l’amour pour une vie « d’encore… ».
Question bête... Je l'ai déjà lu celui là, dans une autre vie?
Parce qu'il me rappelle quelque chose, mais après je me trompe peut-être!
Quoiqu'il en soit j'adore la dernière strophe, qui est là pour relever le désespoir des trois autres, et qui à elle seule crève d'amour... (enfin crève, façon de parler, c'est le contraire )
Je suis comme ce temps que l'on ne remonte pas : décalée et détraquée.
L'amour c est une médaille de la vie qui nous aide affronter bien des tempêtes... Et comme Justine j ai bc aimé la transition entre les 3 premieres strophes et la derniere. Cela renforce l emotion la force des sentiments...
J'ai vu des rimes belles à en brûler mes yeux ! Des rimes me disant : "sauras-tu faire mieux ?" Je ne le saurai pas, celles-ci sont ultimes, J'ai vu Naej écrire, à l'encre du sublime.
Ma-gni-fique ! quel beauté dans ces vers là... et quel amour magnifique ! Il m'a pris au coeur ton poème. Alors il va dans mes favoris... Gros bisous Thérèse
«Il faut que la voix des hommes sans voix empêche les puissants de dormir.» Abbé Pierre
Merci mes amis "poète et poètesse" ! ceux que je connais de longue date et ceux que je découvre avec plaisir... Votre présence est toujours synonyme d'encouragements et me fait chaud au cœur et à l'âme... J'ai bien conscience que mes textes actuels sont d'une sensibilité proche, sans doute la raison se trouve-t-elle en mon âge... Mais chacun d'entre eux est inédit... Merci aussi pour les "Chapeaux", c'est un "instrument" que je porte depuis longtemps sous toutes les formes d'ailleurs... et les vôtres seront pour les jours de fêtes !!!
Et puis j’ai vu tes yeux m’inonder de lumière, Tes cheveux d’épis d’or caresser tout mon corps, Tes lèvres fruits sucrés se poser sur mes terres, Enfin j’ai vu l’amour pour une vie « d’encore… ».
Tout le poème est magnifique mais véritable coup de coeur pour la dernière strophe !
... et si je m'en vais avant toi, dis toi bien que je serai là, j'épouserai la pluie le vent, le soleil et les éléments pour te caresser tout le temps (Francoise Hardy) merci M-Paule (comme une brise bise de mes aimés sur ma joue)
Merci Naej pour tout. J'ai adoré te lire ton talent pour raconter est tout à fait sublime, dans tes vers et tes images.Bravo...Okana avec tendresse... ...
Et puis j’ai vu tes yeux m’inonder de lumière, Tes cheveux d’épis d’or caresser tout mon corps, Tes lèvres fruits sucrés se poser sur mes terres, Enfin j’ai vu l’amour pour une vie « d’encore… ».
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