Il bat, il bat contre la fin, cet affreux cœur, Alors que l’organisme se plie sur lui-même, L’intérieur le tue, l’extérieur l’écœure Arraché de son monde, il n’est plus qu’un item.
Instrument de torture, électrochoc sadique, Il tourmente son hôte en invité joyeux, Retourne la tortue, rires rauques et tragiques Ce tordu dans sa haute résidence des yeux.
Alors on se relève, il n’est plus de désir On en souffre et on crève de ce contact ultime Puis ça souffle ce rêve, impossible à saisir Celui d’une liberté, d’un isolement intime.
Un échec, un regard, suffisent à annihiler La bonne volonté, du cœur itinérant, Il peut se révolter en crachant ses giclées Mais tremble dans le noir, dans mon corps, macérant.
Tous les textes hébergés par La
Passion des Poèmes sont protégés par les lois
de la protection des droits d'auteurs ainsi que par des traités
internationaux. Il est strictement interdit de distribuer, d'afficher
ou d'utiliser ces textes de quelque manière sans l'autorisation
de l'auteur du texte en question.