Nul autre que soi ne saisit l'indicible De nos demeures d'ombre Car nos mondes invisibles Nous les jetons aux alizés instables. Et même notre bonne étoile Au chaud dans sa barque solaire Ne peut que plier aux caprices des vents. Nos mondes insaisissables sont Tels nos rêves, incontrôlables. Nous ne connaissons rien, non De nos mystères insondables. Ils se promènent en nous Spectres d'une autre de nos natures Nous ne les dompterons pas Telle la brise, ils glissent entre nos doigts.
Tuer le nomade c'est tuer la part de rêve où toute la société va puiser son besoin de renouveau.
Nous ne connaissons rien, non De nos mystères insondables. Ils se promènent en nous Spectres d'une autre de nos natures Nous ne les dompterons pas Telle la brise, ils glissent entre nos doigts.
Merci d'avoir partagé avec nous ces très beaux vers qui sonnent juste à l'oreille et à l'âme.
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