Le chat somnole sur le muret du jardin,
il ouvre les yeux sous les premiers traits du soleil
et m'offre deux lucarnes de lumière.

C’est l’heure changeante
enluminée par un peintre visionnaire
qui trempe ses pinceaux, dans l’éclosion du monde.

Je voudrais tant que rien ne commence !

Mais sur la feuille du prunier
une goutte d’eau
échappée de l’aube se ternit,
puis disparaît.

Un avion laisse une ligne banche
sur le bleu indécis du ciel.

Tu me manques.

... Moi aussi ...

Pareillement...

V

C'est tout joli ce que tu décris, mais bien sûr, ça ne compense pas l'absence. Ce serait mieux à deux de contempler ce tableau enchanteur.
Bises XENIA
ODE 31 - 17

j'aime beaucoup

Salutation Xenia

Simple, efficace, comme pour dire, je t'aime

PA…

merci à vous tous
Drôle d'oiseau, Mashoune, Varh, Ode, Santorin, Mido, Lilania, Lipstick Cindy, PA..., Ale,
vos visites sont très agréables

merci Âme ondine pour cette lecture attentive, cela me fait plaisir d'avoir partagé l'émotion
Amitiés

Une peinture à l'huile ou une aquarelle.

merci Thomas pour ton appréciation

Bonjour...

Je trouve ton poème magnifiquement imagé, du début à la fin...La poésie n'est pas que dans les mots, mais aussi dans ta vision. Première lecture de la journée, comme une invitation pour le plaisir !
amitiés chaleureuses.
pyc.

merci Pyc pour ce commentaire joliment développé
Amitiés