Sur le lac, la lune éparpillait son reflet Qui dansait sur l’onde au bal des feux follets. De la sylve venaient d’étranges murmures, Le vent bruissait doucement dans les ramures.
Mon âme, vidée de toute sa substance, Errait sur les rives de la souffrance. Mes pensées étaient aussi sombres que l’onyx, Quand soudain près de moi se posait un phénix.
Dans la nuit brillait son plumage incandescent, Et il m’offrit son chant sur un ton languissant, Un hymne merveilleux à la vie, à l’amour.
Avant de s’envoler, il me tint ce discours : N’aies crainte, ton chagrin le temps va suspendre. Laisses donc ton cœur renaître de ses cendres
La renaissance de l'amour !! Splendide Un très bon moment passé à voler aux côtés du Phénix, l'écouter te murmurer ce doux conseil. Une écriture très fine Amitiés Astre
Si seulement ce discours pouvait être universel...en tout cas, j'aime ce poème, ce début inscrit dans la tristesse, mais qui sur la fin, nous permet de croire en l'espoir ! Peut être la promesse de meilleurs lendemains ! Amitiés sincères. pyc.
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