Ma prose, perdue dans cet amour infini
Des anges invoquent autour de ce nid
Le feu, si ardent d'une passion qui dévore ma chair
Tant il m'anime dans cette douce sphère

Qui embrasse ces douces courbes de dame
Puis ce sont quelques mots qui s'envolent
et étreignent son âme.
Ce chevalier servant, a genoux devant sa reine

Devant sa grandeur, il implore le ciel humblement
Qu'elle daigne vouloir l'effleurer si tendrement,
Dans sa sagesse, elle, digne descendante des astres.
Illumine les sentier éperdus de mon coeur

Je te supplie!
Je t'aime!