Péloponnèse, ma douce aimée, la guerre intestine incita, les indigestions de merguez afin de vaincre les barbares. Ce fut ainsi que nous nous sommes attribué la victoire. Tu es une femme admirable, cette soupe douce de brocolis, ces croûtons d’asticots grillés nous ont donné toute la force du succès remporté sur la lutte. Le combat acharné, souffrir le mal d’un torticolis ou d’une tempête n’est rien face au baume magique de coquelicot et bleuet, une merveille, c’est comme des mots d’amour. Après ce long passage à Athènes et ses 500 clusters de corona, le miracle, l’oracle nous a sauvés. Au crépuscule, notre renoncule fleurira le soleil de mon retour, par passion comme une fièvre, ton regard mirabelle me rend fou. La poubelle à papier se remplit de mes tentatives assez brouillonnes, l’origine d’alopécie vient de ces peurs. Qu’au lointain la péripétie s’évanouisse, non loin du port cette cantine populaire, la mer donne vie tous les jours, un lieu, l’éternité de l’instant, la rustine des marins. Je t’aime, la vague à genoux, le vent du large.
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