Tanné de la publicité? Devenez un membre privilège et dites adieu aux bannières!

LPDP - Page d'accueil
Compte privilège
Nouveau compte
Activer un compte
Oublié mot de passe?
Renvoyer code d'activation
Poèmes populaires
Hasards de l'équipe
Poèmes de l'année
Publier un poème
Liste détaillée des sections
Poème au hasard
Poème au hasard avancé
Publications
Règlements
Liste des membres
Fils RSS
Foire aux questions
Contactez-nous
À Propos
::Poèmes::
Poèmes d'amour
Poèmes tristes
Poèmes d'amitié
Poèmes loufoques
Autres poèmes
Poèmes collectifs
Acrostiches
Poèmes par thèmes
::Textes::
Nouvelles littéraires
Contes d'horreur
Textes érotiques
Contes fantastiques
Lettres ouvertes
Citations personnelles & Formes courtes
Textes d'opinion
Théâtre & Scénario
::Discussions::
Nouvelles
Portrait sous vers
Les parutions
De tout et de rien
Aide aux utilisateurs
Boîte à suggestions
Journal
Le coin de la technique
::Images::
Album photo

Membres : 3
Invités : 25
Invisible : 0
Total : 28
· cricri0099 · M@ry Re@d · Dukes
13226 membres inscrits

Montréal: 6 juin 15:11:11
Paris: 6 juin 21:11:11
::Sélection du thème::
Ciel d'automne
Lime trash
Soleil levant









LPDP :: Autres poèmes :: Chair de Lune vertical_align_bottom arrow_forward_ios

Page : [1] :: Répondre
Saphariel


Tirons notre courage de notre desespoir même. (Sénèque)
   
Statut: Hors ligne
Envoyez un message instantané à ce poète.
Statistiques de l'utilisateur
48 poèmes Liste
250 commentaires
Membre depuis
17 janvier 2017
Dernière connexion
Il y a 2 minutes
  Publié: 19 juil 2020 à 13:50 Citer vertical_align_bottom




Chair de Lune

Chère Dame !
Chair D'âme !


Prélude sans suite
L’hémoglobine s’emporte
Déchaîne-toi
Prestissimo
Sexy ecchymose
Claque sur la lune
L’antre du Profanateur
Et son Boucher
Exposent leurs Trophées
Qu’ils nomment
« Princesse »
Sur des esses
(Nous sommes si jolies
Pensent-elles
Mais sans langues
Nous n’existons pas)

Dormez-vous ?
Dormez-vous ?


L’impie approche
Pianissimo
A pas de géant
Décapitation express
La Vie côtoie la Mort
N’a plus toute sa tête
Et les corps aboient
Aux Chairs de Lune
Blasphématoire
Esclave
Enfantine

Sonnez les matines !
Sonnez les matines !


Le gisant Inconscient La voie
Mes mots s'engorgent
Dans sa zone de guerre
Car nous sommes
De la même fête
Ô Peau-de-nuit
Laisse entrer
Un brin d’Humanité

Ding ! Daing ! Dong !
Ding ! Daing ! Dong !


Mesdames et Messieurs
Entrez-donc
Sous le chapiteau
De
La Foire aux Oubliés

We are not monsters...*
I am not a Monster !






*Nous ne sommes pas des monstres...
Je ne suis pas un Monstre !
En italique (sauf la fin) : comptine des Frères Jacques (légèrement remaniée)

  On a tous une Némésis en soi. La différence entre l’optimiste et le pessimiste, est que ce dernier la conçoit quand le premier ne fait que l'entrevoir sans jamais l'affronter...
In Poésie Cet utilisateur est un membre privilège


Il suffit d’oser !
   
Statut: Hors ligne
Visitez le site web de ce poète. Envoyez un message instantané à ce poète.
Statistiques de l'utilisateur
346 poèmes Liste
7329 commentaires
Membre depuis
22 octobre 2014
Dernière connexion
25 mars à 14:40
  Publié: 19 juil 2020 à 14:06 Citer vertical_align_bottom

Je sens beaucoup de douleur dans ce poème qui me ramène au film Freaks (La monstrueuse parade) de Browning, 1932.

On ne pourrait plus faire un tel film. Mais tu as pu l’écrire. Avec force.

J’aime.

Bizzz, JB

  La vie commence à chaque instant.
Hubix-Jeee


Les mots qui vont surgir savent de nous des choses que nous ignorons d'eux. René Char.
   
Statut: Hors ligne
Envoyez un message instantané à ce poète.
Statistiques de l'utilisateur
421 poèmes Liste
8108 commentaires
Membre depuis
25 décembre 2010
Dernière connexion
Il y a 1 minute
  Publié: 19 juil 2020 à 17:22 Citer vertical_align_bottom

Le problème avec certains mots vient de leurs sens multiples...

Le titre pourrait paraître quelque peu surréaliste si l'on imagine la chair de notre unique satellite, bien visible, la-haut...

Mais si on prend le sens de lune, celui que l'on donne familièrement aux fesses, cela devient plus érotique...

Cela dit, ton poème est très imagé, il faut même appel à l'imagination de chacun(e) pour y voir, interpréter à sa manière, ce qu'il ou elle y voit...

Comme JB, j'y ai vu, en toute subjectivité, des images de cinéma, moins celles du film qu'il cites, mais plutôt de deux cinéastes américains, dont les mots me font irrémédiablement penser, David Lynch, entre "Elephant Man" et "Blue Velvet", voire 'Twin Peaks", mais surtout David Cronenberg et le film "Videodrome", qui parlait des "slasher movies", films qui montrent des personnes torturant d'autres personnes, en direct, donc, une violence consentie...

Les deux derniers vers y sont une allusion certaine, mais tout cela semble induire l'ironie, celle de la comptine qui emmène le poème vers autre chose, comme à travers les yeux d'un voyeur, en anglais "Peeping Tom"...

Tous ceci n'est que le fruit de mon imagination et les fruits finissent parfois par pourrir...

Amitiés...

Hubix.

 
Galatea belga


Mon rêve est la réalité banale d'un autre-Galatea-
   
Statut: Hors ligne
Visitez le site web de ce poète. Envoyez un message instantané à ce poète.
Statistiques de l'utilisateur
781 poèmes Liste
16565 commentaires
Membre depuis
6 décembre 2009
Dernière connexion
Hier à 20:52
  Publié: 20 juil 2020 à 00:48 Citer vertical_align_bottom


Votre avatar m' emmėne å travers la foret d' images de ce poème qui me touche, secoue meme, sans le comprende en plein.
Encore une fois, une chair d' ame qui vient dessinée en vers.

Le manque d' accents, je sais...
galatea

  Si visi amari, ama.Le Prince ...oh le Prince...
RiagalenArtem


Regards sur l'Invisible
   
Statut: Hors ligne
Envoyez un message instantané à ce poète.
Statistiques de l'utilisateur
202 poèmes Liste
4373 commentaires
Membre depuis
3 août 2012
Dernière connexion
Il y a 4 minutes
  Publié: 21 juil 2020 à 22:37
Modifié:  21 juil 2020 à 23:24 par RiagalenArtem
Citer vertical_align_bottom

Et bam ! La "faux-cille" de la lune a frappé...
Les "Freaks" - je pense à Tod Browning - ne sont pas les monstres, les princesses auraient été protégées...mais là, ce n'est pas du cinéma, le cirque est monstrueux, les clowns cauchemardesques (mais ce n'est pas un rêve).
Tu t'habilles de bleu mais l'écarlate est en alerte...(je me comprends et toi aussi, perhaps)...
Comment ne pourrai-je pas l'aimer, ce criant écrit...malgré tout...

K.

  "C'est avec la tête qu'on écrit. Si le coeur la chauffe, tant mieux, mais il ne faut pas le dire. Ce doit être un four invisible." Gustave Flaubert -
Bestiole Cet utilisateur est un membre privilège

Administratrice


Qu'ai je su de la vie à l'étreinte étouffée, la connaissance ultime, cyclone aux yeux de jade. Bavant nos deux matières en un lit de soies d'ombres.
   
Statut: Hors ligne
Envoyez un message instantané à ce poète.
Statistiques de l'utilisateur
309 poèmes Liste
19722 commentaires
Membre depuis
25 juin 2004
Dernière connexion
Il y a 1 minute
  Publié: 22 juil 2020 à 04:58 Citer vertical_align_bottom

Du coup dans un autre style American Horror Story, la saison 4 sur les monstres.
Mais je pense qu'il ne faut pas ici prendre le monstre au sens propre.
Très bien trouvé le parallèle avec la lune, virginale et aussi témoin de toutes les atrocités.

Je ne retiendrai que ça parce que comme toujours des touches de lumière perce à travers la noirceur :

"Car nous sommes
De la même fête
Ô Peau-de-nuit
Laisse entrer
Un brin d’Humanité
"

  Megliu dà que prumette (proverbe corse) - Traduction : C'est mieux de donner que de promettre
In Poésie Cet utilisateur est un membre privilège


Il suffit d’oser !
   
Statut: Hors ligne
Visitez le site web de ce poète. Envoyez un message instantané à ce poète.
Statistiques de l'utilisateur
346 poèmes Liste
7329 commentaires
Membre depuis
22 octobre 2014
Dernière connexion
25 mars à 14:40
  Publié: 29 juil 2020 à 01:47 Citer vertical_align_bottom

Citation de RiagalenArtem
Les "Freaks" - je pense à Tod Browning



Tiens tiens tiens... et de deux !

Bizzz, JB

  La vie commence à chaque instant.
Page : [1] :: Répondre

 

 



Répondre
Version imprimable
Avertissement par courriel
Autres poèmes de cet auteur
Cocher cette section lue
Cocher toutes les sections lues
Visites: 1002
Réponses: 6
Réponses uniques: 5
Listes: 0 - Voir

Page : [1]

Les membres qui ont aimé ce poème ont aussi aimé les poèmes suivants :



Nous n'avons pas assez de données pour vous afficher des recommandations. Aidez-nous en assignant une cote d'appréciation aux poèmes que vous consultez.

 

 
Cette page a été générée en [0,0285] secondes.
 © 2000 - 2023 VizFX.ca - Tous droits réservés  | Pour nous joindre
L'utilisation de ce site Web implique l'acceptation des Conditions d'utilisation. Tous les textes hébergés par La Passion des Poèmes sont protégés par les lois de la protection des droits d'auteurs ainsi que par des traités internationaux. Il est strictement interdit de distribuer, d'afficher ou d'utiliser ces textes de quelque manière sans l'autorisation de l'auteur du texte en question.

           
 
Oubliez votre mot de passe? Cliquez ici.