Les yeux distinguent des cerfs-volants Feu d'artifice de chatoyantes couleurs. Ces tons vifs en deviennent aveuglants Dans ce ciel bleu roi ressemblant à des fleurs.
Les pensées imaginent des kayaks orangés Dans un bras de mer plus lointain Si proche que je crois les toucher Je rêve ce matin dans l'estuaire Girondin.
Les désirs sensuels s'accrochent dans ce lointain Des muscles roulant roulant sous l'effort Une peau hâlée qui me convient Exacerbent mes sens plus encore.
J'aime à rêver sur la plage les matins Jetant à la mer mes idées. Elles me reviennent avec l'air marin Comme les marionnettes de bois flotté.
Tuer le nomade c'est tuer la part de rêve où toute la société va puiser son besoin de renouveau.
C'est un poème particulier et un peu mystérieux, plein d'une complicité aux choses et aux êtres; des sensations dans leurs fraîcheurs premières. J'aime beaucoup.
C'est un agréable instant de lecture, se sentir bien parmi ce poème qui donne de la fraîcheur, on en a bien besoin. Merci PAPILLON, j'aime beaucoup les derniers vers. Bises amicales ODE 31 - 17
Merci Ode Les derniers vers le bois flotté peut être que tu aimes aussi cela j'ai vraiment l'impression de marionnettes qui auraient coupées leurs fils pour venir s'échouées sur les plages.
Tuer le nomade c'est tuer la part de rêve où toute la société va puiser son besoin de renouveau.
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