L’hiver sur le jour mourant, S’est enténébré, ces brouillards sur une atmosphère si lourde, un voile tombe sur les cheveux noirs des nuages, mordent la lune.
Tandis que le vent agite le sommeil, sous les chimères douloureuses, le cri du ciel se glace sous le silence, des flocons blancs au fond de l’horizon, les étoiles en blessure, sous la tempête.
J’aime ta façon de rendre presque « humains « de simples éléments de décor qui deviennent sous ta plume presque des corps! quoique comme on dit parfois : les éléments se déchaînent Bon la lune mordue, j’espère qu’il en reste au moins un croissant! Amicalement
J'aime bien ce décor, ces images d'hiver. Pour mordre la lune, il faut de sacrées dents, c'est sans doute un coup de main du soleil couchant qui ne veut pas laisser sa place.( humour) ODE 31 - 17
Dominique Bouy, De puissantes images dans votre très beau poème caractérisent avec force le côté obscur de l'hiver, son aspect terne et morose.J'aime tout particulièrement::"Le cri du ciel se glace..." et "Les étoiles en blessure..." qui donne quelque chose de douloureux à la froideur de cette saison Amitiés sincères
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