Il y a des oiseaux noirs sur l'horizon partis
Espoir – mais tu m'as tant trahie

J'ai cru à ces histoires ô vagues vagabondes
J'ai tant voulu y croire mais je suis hors du monde

Pardon à la vieillesse et pardon à l'ouvrage
Pardon à ceux qui restent. Mais moi dans ce naufrage

Je n'ai plus dans mes yeux que ce terne pays
Alors quand je les ferme je suis enfin partie

Avec ces oiseaux noirs et la folle espérance
Mon dieu comme il me tarde d'entendre ton silence

Bonjour Datura,

Mes doigts tournent au dessus de ce clavier, sans savoir sur quelle lettre se poser.

Je ne sais comment l'exprimer, mais ton poème évoque en moi un sentiment que je ne saurais décrire, mais qui il me semble, m'a toujours habité…

Merci pour ce partage, j'y reviendrai assurément…

Amicalement,
Stéphane.