Les mots iodés sur la beauté des navires, Voltigeant au vent fort, jusqu’au cœur des blés La pluie inonde les rêves des folles herbes, L’absence, c’est de fuir l’usure du temps.
Écoutez la nuit, l’exil éprouvant des routes, C’est l’automne pluvieux qui s’en allait Et lâche les cheveux sur les épaules, Les étoiles resplendissent à jamais
La vie s’étire, le temps d’entrouvrir les paupières Tracer sur la buée de la vitre gelée, La brume oppresse et dévore la solitude Dans les noirs nuages s’épaississent les coups.
Et pourtant, des regards luisent dans la vie, De fraiches odeurs de fleurs, je m’éveillais, Une symphonie de couleur de tous pays, La poésie et une mélodie se levaient.
Toute cette grâce apparue aux fenêtres, On entend dans les nids, un bonheur nouveau, Les villes voilées de dentelle légère, Et les rêves merveilleux bourgeonnent dans les rues.
Le sourire se colle sur les visages, La vraie passion rythme chaque battement, Une larme silencieuse de toi-même, C’est la lumière, l’embrasement de mon sang,
Une lecture que j'ai appréciée, en tant que ex CIGOGNE, j'espère que bientôt je trouverai un thème pour réaliser telle performance de poésie. J'essaierai. C'est très beau. Je le relierai. Bien amicalement ODE
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