Une forêt grince, gémit, s’amenuise Au profit de puissants et cruels actionnaires Le peuple est enchainé, partout, les tortionnaires Font peser leur pouvoir où la vie agonise.
Ce trente octobre au soir, les arbres se sont tus Communiquant l’espoir de la paix retrouvée Le Brésil se relève, le Brésil est sauvé Le cauchemar s’achève, la brute est abattue.
Cette issue de secours au cœur de l’incendie Était repeinte en rouge afin qu’on la repère Cinq ans à suffoquer, cinq ans où l’on se perd
Au cœur de la folie, de l’Etat, de nos pairs, C’est ainsi qu’on l’empreinte sans crainte on espère Et Lula, bras ouverts, ouvre le paradis.
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