Bonjour plume-éphémère,
L'immensité de la banquise, avec ses couleurs azurées et sa froideur polaire. Tu te laisses emporter par la beauté de ce paysage, jusqu'à en être ébloui. Tu y décris également la chaleur du soleil, qui contraste avec l'environnement glacial, ainsi que sa propre vulnérabilité face à cette nature impitoyable. La dernière strophe suggère une certaine forme de résignation face à la puissance de la banquise, avec une image forte de l'étreinte démesurée qui l'emprisonne.

James
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