Le printemps est venu, quelques jours en hiver et les plantes, étonnées des rayons du soleil, ont souri à la vie, sortant de leur sommeil parlent aux mimosas, dans un langage clair
les cerisiers en fleurs se protègent du vent, les arbres de Judée affichent la couleur, quelques timides violettes s'ouvrent discrètement ; les roses hésitent encore, avant le grand bonheur
Le printemps est venu, il doit être rebelle demandant au ciel gris, de se faire la belle c'est l'enfant turbulent, sur son manège tournant on ne peut le calmer, il n'a jamais le temps
alors ma Tourbillon, au jardin est heureuse et cherchant le muguet, pour se moquer de moi essaye de me faire croire..., mais elle devient rieuse, sachant que le réel me file entre les doigts
Le printemps est venu, puis aussitôt parti je n'irai au bassin, car l'eau est refroidie le temps est relatif, comme nous disait Albert c'était une occasion pour vous écrire ces vers
Bonjour, Il y a une très belle mélodie. Elle a été cassée pour moi à deux endroits. Je pourrais vous le dire si vous le souhaitez. Mais globalement j'aime lire de tels poèmes où l'on sent bien la musique des mots. C'est le cas ici. Bonne journée Cidnos
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