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Hubix-Jeee


Les mots qui vont surgir savent de nous des choses que nous ignorons d'eux. René Char.
   
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Hier à 15:45
  Publié: 24 mai à 13:51
Modifié:  25 mai à 13:33 par Hubix-Jeee
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Je suis dans la maison qui dort
Somptueuse, au cœur de la nuit
Où les silences sont d'échos prolongés

J'erre sur les murs de mondes indigo
Aux siècles des lumières, imaginaires
Dont les miroirs se souviennent tant

J'ouvre les fenêtres de rivières bleues
D'étranges musiques navigant d'âmes
Où les rêves sont de neige, d'yeux moirés

Je grandis en des saisons aux toits ébrasés
À l'aune de l'enfance au regard innocent
Où la mémoire sillonne l'intemporalité

Je promène mes doigts sur la pensée des choses
Entre la rose nue et l'ombre désincarnée
Sculptant l'incandescence à la pluie des soupirs

Je lévite, constellé, dans la chambre sinueuse
Où des femmes réverbèrent mystérieusement
Décrochées des tableaux en parfums versatiles

Je cherche au tourbillon des heures inventées
La chair du poème, derrière la porte close
Et j'entends la voix rue s'étendre de raison

Je vois, à l'horizon, le chemin du présent
La clé cuprique sonne dans la tête écumeuse
De l'océan perdu dans le lit introuvable

Je sors de la maison qui s'éveille
De l'espace, elle vague entre les pointillés -
Ainsi, je marche au futur seuil éteint.

Hubix.





 
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