Lorsque la plume se repose, que ce soit aux cimes, Du souffle pur du haut des sommets soleillés, D'une douce dune, d'une aube exaucée comme aimée, L'orbe par lunes, voeu de notre heur, seule, m'annoblit.
Ô ciel salubre, que ne vaut l'heure de soie aux rimes ? D'une proue de fulgures, l'homme est sonnet, poème né, Nul doute, juste une autre épopée conseillée, Forme d'astuce, lieu de votre coeur que l'âme prodigue.
L'orme, par une fleur, me cause, je le vois prodige, L'ocre parure de ce beau fleuve me parle donc libre ? Une source murmure l'or des forêts sommeillées,
S'hume toute une brume aux airs nommés aux étés, Bonne de nature, que se fonde l'oeuvre par possibles, Probe, que s'allume de ce for le jeune art promis.
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