Dis-moi les jours qui restent, enduits dans la douleur Je ne sens que la peste à l’aise au jeu du mal, L’esprit broie la raison, une vie sans couleur Ecrase les saisons tuant tout animal.
Dis-moi donc le moteur de ces grands inconnus Qui modèlent la terre au profit de leurs vœux Qui martèlent à l’éther nos cerveaux mis à nu Extrayant de nos chairs le silence ou l’aveu.
Dis-moi pourquoi la Terre est déjà condamnée Par la voix de certains qui n’y peuvent rien faire Balisons le terrain, le chemin des damnés Est marqué de voisins nous attachant nos fers.
Dis-moi quel est ton rôle au sein de ce vacarme, Je ne fais qu’inventer celui qui m’entendra Avoue-le c’est très drôle un mouchoir plein de larmes Est au pied de mes mots, ce vers, qui s’étendra.
Poignant et si près de la vérité. pauvre planète envahie par les fous, ceux qui subiront eux aussi les catastrophes, ils ne seront pas épargnés mais le savent-ils? Merci pour cet écrit poète Bien amicalement ODE
Heureusement qu'une certaine Jeunesse continue à se battre pour changer les choses Même en ces temps quelque peu tristes, dangereuses et moroses Cela prendra le temps qu'il faudra Mais il faut changer quelque chose, l'on aura pas le choix, JH
Le poète a toujours raison - Qui détruit l'ancienne oraison - L'image d’Ève et de la pomme. - Face aux vieilles malédictions, - Je déclare avec Aragon : La femme est l'avenir de l'homme ! (Jean Ferrat)
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