Le ciel était si sombre que je voulais mourir Ainsi les ténèbres achevaient les projets du bonheur Mon coeur martyrisé par sa propre douceur Découvrait tardivement ce que pleurer veut dire
Le malheur m'a donné le plus beau des destins Le crépuscule de mon âme se livre à un festin La beauté de l'aurore a fait pâlir mon amour Ces amants qui jalousent tant le bonheur de l'aurore Comme autant la nuit méprise le destins des amants Jamais la vérité ne conjurera un mauvais sort Puisque la vérité ne dure qu'un instant Cet instant si pur où j'ai osé renier l'amour.
La beauté qui mendiait aux portes de mon âme Cette beauté qui surprend même lorsqu'on l'attend Aux confins du coeur, rôdant, attisant votre flamme N'a eu raison de cet indicible serment.
Le Dieu qui me donna une âme pour mourir Me révéla que la tristesse est aussi capable de sourire Le malheur m'a appris la chose la plus belle Ce que le coeur modèle sur son aquarelle : Qui attend quelque chose ne peut rien recevoir Si l'amour vient quand on ne l'attend pas La beauté de la nuit restera mon seul espoir Et renaîtra sous chacun de mes pas.
Une nouvelle fois merci loup8084...
En effet il n'est jamais trop tard, moi aussi de mon coté je découvre des merveilles même si le temps m'est conté car j'utilise l'instrument de mon travail à des fins privées...
Mais chuuut !
merci pour ta nomination Virtuelle...
J'en suis très touché comme je suis content de te retrouver (enfin si j'ose dire !).
Quand me donneras-tu de tes nouvelles ?
Toujours vivante ?
J'aime beaucoup tes mots, Idem, cette douceur mêlée de douleur, cette triste et grave beauté qui semble s'évader de tes vers...La première strophe ouvre ton coeur comme pour y convier le lecteur...
Profond respect Volcane...
Tu poursuis mes vers et j'en suis heureux
Il est vrai que mes poèmes tristes ou non seront toujours mélés à une certaine douleur...
En attendant le bonheur...
Merci pour Clochette Virtuelle, elle a en bien besoin...
Et qu'elle trouve enfin Peter Pan !!
Je t'appelle ce soir pour des nouvelles...
A quand ta nouvelle prose ???
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