« Vive la v [hips], la vie de la France glorieuse Cette femme innocente, rondelette et rieuse Moi je lève mon verre, action périlleuse Comme les mill [hips] taires, qui se terrent dans la Creuse
Nous protègent du choir, non, du soir éternel Nous empêchent de choir, le [hips] sempiternel Etendard rouge et blanc, depu [hips] la maternelle Me donne de la force, Clov [hips] mon paternel ! »
Ainsi vociférait, dans une rue ardente Les restes animés de cet énergumène. Face à l’alcoolémie la raison est perdante
Et le patriotisme surgit, se démène. Menant cette offensive, la nation ignorante Ecrase dans le cœur la cohésion humaine.
Bonjour Même si il n’y a rien de risible chez un homme alcoolisé , il n’en reste pas moins que votre sonnet est percutant d’un humour acide ( les vapeurs de l'alcool certainement )....
A votre santé...Je bois, je vois je crois, je ploie "humour" juste un petit verre, ne peut me faire chuter. Un écrit à respecter et à analyser plus profondément. Bien amicalement ODE
Super... Pour moi, juste un p´tit coup alors... J'ai bien aimé ton humour. J'me tire en titubant, à présent (je plaisante) Au plaisir de te lire. ATLAS
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