La rosée du matin glisse sur un lilas C’est la source du train de la vie cadencée Chenille en quatre parts, débute ta lancée Butine cette source, être humain suis-là !
C’est au cœur du ruisseau que les poissons s’agitent, Glissent dans les montagnes, au sein les affluents ; Un fleuve nait il gagne des noms influents Et rencontre le lac où il les régurgite.
Quand la Révolution décapite la foule Dans notre évolution nous sommes moins serrés Jules Vernes architecte, on l’ignore, on le foule;
Dans un delta bientôt fuit une eau altérée Vers la fontaine vile, pour l’hôtel qui coule, Et l’urbaine prison est ainsi déterrée.
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