Dans le désert de ses nuits solitaires Quand les chaînes toujours meurtrissent sa chair Gladiateur adulé et honni des foules mercantiles Homme blessé à la force inutile Il pleure cette vie qu'il lui faut disputer Il pleure le bonheur à jamais massacré.
Ô vie de combats sans solde ni même mercenaire ! Ô dieux infâmes, puissiez-vous vous taire ! A ce salut donné par une couronne de pacotille Spartiate désabusé au nom futile, Espoir que seule sa gloire sera sacrée Sa survie dans les corps à jamais honorée.
Sans casque et sans armure Vers son dernier combat il marche d'un pas sûr Dans l'or et la lumière Soldat qui va mourir sans aucune prière Sans même une cause suprême Sans une âme qui l'aime…
Des roses jetées comme sang de parure Des fauves étranglés, des hommes, des blessures L'attente irascible de l'autre terre Du pouce droit vers Pluton et Hadès La liberté et son prix amer Ne plus entendre la foule en liesse Ni ce dernier chant En pleurant : "Ave Caesar Morituri Te saluant…"
Ici, dans l'arène, à un contre un Là-bas, ensemble, près de l'Olympe…
Merci de tout mon coeur ma chérie, petite Poupougne toujours ausis franche et directe adns tes élans, je vois !...Je suis trop, trop heureuseq ue tu aies aimé ce poème et nos deux styles réunis.
Merci Volcane, ce que tu as écrit me touche énormement.
J'aime ce que je lis de toi et de Phoenix donc je commente.
Tu es vraiment tres douée, comme le dit si bien Phoenix.
Et tu m'épates par ton talent.
Gros bisous ma chérie que j'adore
Quant à toi Phoenix merci aussi pour ce que tu as écrit sur moi c'est tres gentil (de toi ca ne m'étonne pas).
En tout les cas encore pour ce duo qui est super beau.
Opera...Enfin, Annie...je suis très touchée par ton commentaire, et heureuseq ue tu ais tant aimé lire notre poème.
Pour la question de la "dureté" de ce texte, je epsne que c'ets lié au thème que nous avons choisi et qui n'ets aps des plus "soft", certes...Un côté de l'expérience humaine difficile et douloureux, frôlant la question ed l'esclavage, de la soumission ou de la rébellion, de l'acceptation de la mort entant que délivrance...et le vide d'amour aussi.
Cela dit, je t'embrasse et te remercie chaleureusement de at viste chère amie...
salut volcane et phoenix !!!
Ben pour une surprise c'est une surprise !
Il ets super votre duo, il me rappelle le film, bien sûr, Gladiateur, avec toute cette souffrance et cette lutte, cette dureté aussi. J'aime baucoup vraiment. Je le nomine avec toute mon amitié.
bisous a volcane ma puce, et un p'tit sourire à phoenix.
Trés beau duo qui m'a fait retrouver tous mes souvenirs de lecture du temps pasé... passé mais non oublié, au point d'être obnubilé par la formule : Ave caesar morituri
TE SALUTANT...
En toute amitié et je nommine
José
Merci beaucoup pour ton passage et contente que tu aies aimé ce moment de lutte entre la vie et la mort, que seul peut guider un véritable amour de la vie plus fort que la détresse humaine...
Ah oui ! Le film ! Moi aussi il m'avait fait une forte impression, ça doit marquer l'inconscient ces images, t'as raison !
C'est toujours une surprise et un plaisir de découvrir tes remarques, de sentir tes émotions au détour de mes mots...Encore une fois, le passé ressurgit par la force évocatrice du poème...un passé dont je ne me doute pas malgré tout ce que je sais grâce à toi. Je suis heureuse de te faire revivre de telles émotions.
Je vis ici les arènes
Le combat pour la vie ou la mort
Les meurtrissures, les salissures infligées
Et surtout ce salut, Comble d’ignominie.
Description fabuleuse qui retrace des années de misère
De cruauté.
Magnifique et nominé
Superbe duo.
Amitiés,
Jean-Paul
Amoureux de la vie, des femmes et du vin (Car je suis fier d'être Bourguignon
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