C’est entre chien et Loup, que son cri a percé Les fibres de mon cœur, se sont mises à jouer, Pas question d’une peur, mais plutôt d’un émoi. Car il faut être Loup, pour avoir peur de toi.
Libre comme jamais, il galope la forêt Tous les maux et les mots, il les a oubliés Mais pas ton cri du cœur, toi qui fus son amie Avec tous ces échanges que jamais l’on n’oublie…
Une voûte céleste où brillent les étoiles, Un regard qui se lève, et des yeux qui se voilent.. La mort pour ceux qui restent, un regard sur la nuit, Et je sais qu'en rêvant, tes pensées vont vers lui.
Ton cœur aride est plein de cendres et de pierrailles C’était un grand poète, il a été ton Roi Un amour – amitié, en toi jusqu’aux entrailles Ses vers te transposaient, et ils étaient ta foi…
Je crois qu’il a aimé, parfois te taquiner, A vous deux si présents, pour combattre l’ennemi, Nous garderons l’exemple, d’une si belle amitié, La passion des poèmes , un jour vous a unis
Chevaliers, troubadours, chantez encore l’amour Depuis la nuit des temps, avec vos voix toujours La vie reprend ses droits, et c’est inéluctable La Nature est ainsi : Renouveau formidable !
Aujourd’hui c’est la fête , nous devons partager Et le sourire aux lèvres avec nous viens trinquer, Que les bleus de ce coeur, fassent place aux soleil, Et qu’enfin dans ces yeux une lumière s’éveille.
*Que ces deux vies telles des notes de musique Chantent et vagabondent au-delà du temps Qu'on parle un jour de la légende magnifique D'un petit indien et d'un loup blanc. (*duo Loup /Papemich 03/2003)
« A quelques heures de mon trépas, et sans ciller Ce sera toi, Ami, qu’encore je fixerai Sans me pencher sur moi, pauvre hère, apeurée Par le rire hystérique d’une camarde pressée… »
Mais je reste avec vous ; vous tous mes chers Poètes Malgré mon désespoir, je voudrais faire la fête Des mots, des pieds, des rimes, que vous nous dispensez Peines et joies, états d’âme, qu’il aurait appréciés…
j'ai supprimé mes poèmes, mais celui ci t'appartient, alors je le repose sur le site, je souhaite que tous tes amis y reviennent y déposer leurs commentaires, que j'ai effacés,je suis réellement désolée. Je t'embrasse très fort. Evelyne
Chère Évelyne, je sais que tu as suprimé tes poèmes du site et c'est bien dommage à cause qu'il m'en restait tant è en lire... Mais merci de garder celui-ci au travers de votre amitié pour Michel et ses oeuvres. Pour le reste, je suis bien peiné de ce qui arrive, car j'ai lu pour les commentaires à ton sujet dans "on a reçu des plaintes au sujet de Nuages et ses commentaires", etc. et même sans avoir commenté ou pris position, je trouve vraiment dommage
de ne plus voir tes écrits dans tout cela...
Bonne chance!
-log!
P.S. J'ai égalemnt lu "je pars de Nuages".
"Nous rencontrons l'amour qui met nos coeurs en feu, puis nous trouvons la mort qui met nos corps en cendres." [Tristan L'Hermite, extrait de "Les Amours"]. "Le Temps n'a d'autre fonction que de se consumer : il brûle sans laisser de cendres." [Elsa Triolet, extrait de "Le Grand Jamais"].
Et puis tiens, je sors de ma léthargie pour nominer ! ( tu sais que cela est contraire à mes habitudes de l'annoncer, mais cette fois j'avais envie...)
Je t'embrasse,
Pierre
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