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souffle


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16 janvier 2010
  Publié: 12 juin 2005 à 07:18
Modifié:  12 juin 2005 à 08:06 par petitealex
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Combien étions-nous ?
A naitre cette heure-là
D'une contraction de ventre
D'un spasme du néant
A rejaillir du tunnel
Contraints ou consentants
Pour prendre place,
A la table du temps

Combien étions-nous ?
Fermés à la dilatation
A l'autonomie réfractaires
Ou gobant l'atmosphère
Explosant de sensations
Le nez et le coeur palpitants
Baptisés d'eau et de sang

Je nous imagine au départ
Certains, yeux respirants
Certains, yeux éblouis
Certains, déjà meurtris
Chaloupés par des mains
A la mémoire enfouie

Je nous imagine
Un peu plus de candeur
Un peu plus de confiance
Un peu plus dans l'inclinaison
A savourer l'insouciance
Mais a-t-elle une saison ?

Je nous imagine
En passe d'amnésie
Assis à califourchon
Entre hier, nous étions
Et aujourd'hui, devenons
Explorateurs sous contrat
Prisonniers de trois kilos trois

Combien avons-nous été ?
A courir les dix premières années
Dans l'amour et la tendresse
Sans collection de claques aux fesses
A avoir nos deux parents
Unis, présents et rayonnants

Combien avons-nous été ?
A faire le chemin des écoliers
Etre libre, ce n'est pas très compliqué
Mais que faire de sa liberté ?

Combien sommes-nous aujourd'hui ?
De ses frères et soeurs de début de vie
A être en corps, encore
A être en amour, ce jour
A croire avec raison
A n'avoir peur de la maison

Je crois aux dieux, de chairs fragiles
En la volonté, des hommes de bien
Au coeur desquels coulent dociles
Les forces vives du genre humain

Je crois aux ombres sous le courage
A la demi-planète, toute en sommeil
En l'inertie, aux grands ouvrages
En la mouvance du monde intemporel

Je crois en l'effet papillon
En l'utile de toute création
En l'influence universelle
De nos individuels

Je crois comme je respire
Je suis paix comme j'y aspire

2003-12 juin 2005

  J'ai connu le bonheur, mais ce n'est pas ça qui m'a rendu le plus heureux. Jules Renard
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16 janvier 2010
  Publié: 12 juin 2005 à 12:10 Citer vertical_align_bottom

Merci Jennifer

Je te réciproque le souhait, avec un beau ruban tout autour pour tes jours "un peu moins"

A bientôt

Anne

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16 janvier 2010
  Publié: 12 juin 2005 à 17:51 Citer vertical_align_bottom

Comme tu dis Pascal, pas facile tous les jours. Peut-être a-t-on besoin de s'eloigner de ces croyances, pour mieux les apprécier. mettre de la distance pour en mesurer l'ampleur ou pour ne pas les étouffer, nous y étouffer.

Merci

Belle nuit !

Anne

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Marine

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23 mars 2015
  Publié: 14 juin 2005 à 05:23 Citer vertical_align_bottom

Oui, combien sommes-nous à vivre ce que nous sommes vraiment....
euh..je fais ce que je peux

Croire, croître en Paix... commme j'aimerais plus souvent !
Sommes-nous toujours maître de cela?

Anne, j'aime tes poèmes !


Marie

 
rimarien
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Bannir en poésie comme antan on brûlait les hérétiques
   
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30 mars
  Publié: 14 juin 2005 à 05:47 Citer vertical_align_bottom

Chère Anne,
qu'importe que la vie soit éphèmère
en quelque chose on se doit de croire,
c'est dans le doute de nos chimères
qu'on se construit de belles histoires!
bises


  Bannir en poésie comme antan on brûlait les hérétiques
souffle


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16 janvier 2010
  Publié: 15 juin 2005 à 05:06 Citer vertical_align_bottom

Je ne sais pas Marie. Maîtres, certainement pas, je pense, enfin en toute conscience quoi ... Je pense qu'on se choisit de quoi nous permettre d'accomplir certains pas. Que nous sommes toujours, en certaines parts de nous-mêmes, des nouveaux-nés. Avec un fond de mémoire de notre vie symbiotique, de nos expériences.
Etre nouveau-né est une situation douloureuse. On apprend la mesure de notre dépendance, la pesanteur, le temps s'inscrit en nous par le silence de la nuit et ... nos sens qui réclament autant que nos estomacs. Avant d'apprivoiser cette situation et s'y adapter, il y a quand même souffrance.
Il me semble que nous pensons au fur et à mesure que l'on vieillit être dans le plus difficile alors que le plus difficile fut ce coup de pied au c... primal et que toutes ces fichues étapes qu'on s'impose et croit maîtriser ne sont que tentatives de comprendre ce qui nous est arrivé à ce moment-là.



Pouf vais prendre un café moâ,


affecteux

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16 janvier 2010
  Publié: 15 juin 2005 à 05:11 Citer vertical_align_bottom

Dans le doute de nos chimères, quelle belle formule !
Tenter de vivre sans croyances c'est déjà s'en créer une, n'est-ce pas ?

Alors, à quoi bon ... allonsss-z-y joyeusement

Merci

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16 janvier 2010
  Publié: 15 juin 2005 à 05:18 Citer vertical_align_bottom

Bonjour Valter,

C'est en effet un thème qui me trotte en tête et coeur ces temps-ci. C'est l'âge
C'est peut-être parce que j'ai recommencé à regarder le journal télévisé. Cet angle à une dizaine de morts, 5 malheurs par jour qui aurait tendance à me faire oublier le reste.

Nous faisons tant partie des privilégiés, même lorsque des drames nous tombent dessus.

Merci, amicalement

Anne

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Andjik
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Le sucre ne vaut rien lorsque c'est le sel qui vous manque.
   
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  Publié: 21 févr 2006 à 20:12 Citer vertical_align_bottom

Mon commentaire se fera bref : il faut croire qu'il est bon d'y croire encore!

Amicalement!

yvano

  J'aurais voulu que tu voies l'homme que je suis devenu.
angetine au sol


J'ai juste rêver un jour que je pouvais rêver pour de vraie.
   
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4 août 2016
  Publié: 2 mars 2006 à 08:34 Citer vertical_align_bottom

moi j'y crois avec toi friendshipalways!!
je suis de ceux que tu as décrit!

cette lecture a été superbe et j'y ai reconnu ma petite vie bien entamé!

angetine au sol

  Le parfum subsiste toujours au creux de la main qui offre la rose
souffle


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16 janvier 2010
  Publié: 2 mars 2006 à 10:40 Citer vertical_align_bottom

Merci à vous

Cela m'a fait plaisir de vous lire et de le relire. C'est comique, il y a quelques poèmes qui, j'ai beau vieillir, demeurent dans mon présent.

Je vous envoie un rayon de soleil miroitant sur la neige de la colline penchée à ma fenêtre.

Anne

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