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LPDP :: Nouvelles littéraires :: Dessous du mal - Fleur insolite ( 3 ) vertical_align_bottom arrow_forward_ios

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Meganyss

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  Publié: 4 juin 2004 à 17:07
Modifié:  27 oct 2010 à 09:06 par Lunastrelle
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Partie 3

Souvenirs

Le soleil lui chatouilla le nez et elle se réveilla. Elle se leva de moitié, s'assurant que la couverture lui cachait bien les seins. Ses cheveux avaient défait la tresse à quelques endroits, et quelques mèches lui pendaient sur le visage. Aucun bruit, tout était calme et paisible, même son mal de tête semblait s'être envolé avec les ténèbres. Dans un soupir elle se rappela la nuit agitée qu'elle venait de vivre, mais pas question de s'empoisonner la vie avec ça, d’ailleurs la journée commençait bien ; un soleil radieux illuminait un ciel d’azur.

Elle ouvrit la radio à disques compacts à côté de son lit puis fit jouer le disque y étant déjà. De la musique envahit alors la chambre et elle sortit du lit. Elle grimaça un peu en voyant son reflet nu au miroir mais n'en fit pas plus. Les serviettes du soir étaient encore sur le sol. Elle passa au dessus et se rendit à sa commode prendre des sous-vêtements et une jolie robe noire qu'elle porterait aujourd'hui.

Lorsqu’elle ouvrit la porte, elle eut la surprise de voir Mizu qui l’attendait sagement. Dès ses premiers pas dans le corridor, sur ce plancher froid de céramique, il vint répéter son cirque de la journée précédente en se frottant sur les jambes douces d'Eve. Il la suivit jusqu'à la salle de bain. Cette fois elle lui laissa la porte ouverte. De toute façon le samedi il n'y avait personne à la maison. Il n'y avait personne de la fin de semaine d'ailleurs, mis à part le grand frère de 21 ans qui venait une fois de temps en temps voir si tout allait bien. Mais jamais il ne venait vers ces heures là, c'est à dire, vers les 10 heures du matin : il dormait encore.

Elle fit pipi, déposa ses vêtements sur le siège de la toilette, ouvrit l'eau et Mizu se sauva. Le bruit l'effrayait à chaque fois, mais il revenait toujours. Cette fois elle ne prendrait que le temps de se laver. Elle entra dans l'eau qui coulait, les fesses à peine au chaud, le bain n'avait fait que commencer à s'emplir. Elle frissonna et se replia sur elle même afin de se réchauffer un peu. Elle rit.

Un bruit dans le corridor signala l'arrivée prévue de Mizu, il devait jouer avec un bout de papier cette fois, ou alors autre chose : il jouait avec n’importe quoi. Il faut comprendre qu'à quatre mois ils sont tous un peu comme ça. Elle l'avait eu en cadeau de ses parents il y avait de cela environ deux mois, au moment où ses maux de tête avaient recommencé à devenir insupportables. Mizu et Eve s'étaient tout de suite apprivoisés. Elle ne pouvait résister à ses petits yeux verts ainsi qu’à son pelage gris foncé aux reflets argentés qui lui donnaient un air de petite panthère exotique. Elle l'adorait et il lui redonnait bien.

« - C'est un chat plein de vie eut-elle le temps de penser avant qu'il n’arrive près de la porte de la salle de bain. Là où il resta tel un bibelot quelques instants avant de venir la voir tout ronronnant.

- Bon chat... Elle riait en lui caressant le cou de sa seule main sèche, la gauche. Tu es mignon comme tout...Elle prit sa main droite qu'elle mouilla puis osa l’approcher de lui. Il ne recula pas. Elle souriait et sans qu'il comprenne ce qui arrivait elle lui fit tomber dessus les gouttes d'eau coquines. Il commença à les combattre de sa patte, les tapant au passage et quand il en eut assez il recula. Mizu... et elle rit, il semblait faire la moue. Bon d’accord, allez je me lave et je sors… »

Elle ferma l'eau, il y en avait déjà pas mal. Prit le savon entre ses mains et le fit mousser avant de s'en couvrir et de frotter, et enfin elle s'aspergea d'eau prenant soin de ne pas mouiller sa natte à moitié défaite. Retirant le bouchon du bain elle arrosa une dernière fois le chat, qui n'avait pas bougé et ne bougea pas vraiment. Il était là, patient, comme un vieux chat, lui qui pourtant jouait avec tout et rien.

Eve se leva du bain et prit une serviette, mit le pied à terre puis s'essuya. Elle se vêtit puis entreprit d'aller à sa chambre. Mizu sortit avant elle, et se rendit à l'entrée de la pièce. Elle le suivait et trouvait drôle qu'il sache d'avance où elle se rendait, un chat, croyait-elle ne porte pas attention à ce genre de choses, surtout pas un chaton aussi jeune. Mais cela la faisait sourire, c'était marrant d'un certain côté de se rendre compte qu'elle avait un chat spécial. Ou… juste un peu attentionné.

La chambre rayonnait, la musique et le soleil se mêlaient l'un à l'autre comme des amants, c'était merveilleux. Ils entrèrent et Eve prit les serviettes qui étaient toujours sur le sol. Elle alla les mettre au panier, dans le couloir, à côté de la salle de bain. Elle revint ensuite à la chambre.

Elle prit délicatement un carton d'allumettes et alluma quelques bougies qui étaient près de son miroir, d'autres qui étaient sur la table de nuit ; là où était la radio. Gackt chantait au revoir de sa voix chaude, ce qui allait bien avec l'ambiance qui n'était pas froide du tout. Un titre français à une chanson japonaise... Elle avait toujours été captivée par le japonais, sa musique et son pays. C'était un peu pour ça que Mizu portait son nom, qui voulait dire Eau... l'élément de détente suprême d'après Eve. Cependant Mizu était plutôt une bombe d'énergie vivante… pas détendue du tout.

Elle allumait encore quelques bougies puis un cône d'encens à la vanille. Vraiment une belle journée qui commençait, c'était certain : tout était parfait, même le mal de crâne avait quitté. Cela ne prit pas beaucoup de temps avant que l'encens soit balayé dans toute la pièce avec sa saveur de vanille : la fenêtre était ouverte et la poussait de son vent chaud d'été. Il devait faire quinze degrés, pas mal pour environ 10h: 30 du matin. Mizu était resté à l'extérieur de la chambre, regardant Eve de ses yeux verts.

« - Aie ! Quelque chose venait de lui piquer le pied. Elle s'assied alors sur le lit aux couvertures presque intactes et observa le dessous de son pied. Du sang recouvrait un petit bout de verre qui n'était pas entré bien profondément. Saleté...
" Kokyuu ni kamaru chi no kaori ga koukotsu no yoru hi tadayou, senketsu ni somaru mirai no toki..."* Klaha chantait maintenant beast of blood. Elle retira délicatement, en grimaçant, le petit morceau tranchant qui était entré dans sa peau. Allez... " Spills blood on me 'till it fills my body " Et le morceau de verre sortit. Elle remarqua du verre sur sa table de travail en la regardant. L'ampoule avait cassé. " Kaira ku no sakebi hibiku yoru ni ... " La chanson allait bientôt terminer. Le soleil se fit apparemment cacher par un nuage car il faisait plutôt sombre. Le vent, on aurait dit, était devenu un peu plus froid. Retire-toi tout de suite ça de la tête ma belle songea-t-elle. Comme tu l’as retiré de ton pied… »

Le disque sauta sur le mot beast qui ne cessa de se répéter jusqu'à ce qu'elle réalise qu'il faille l'arrêter. Des voix commençaient à revenir dans sa tête. Le mal de tête qui l'avait quittée s'était ennuyé paraissait-il car maintenant, il revenait.

« - Monstre ! Tu ne vas jamais pouvoir arrêter... tu es un monstre !

- Non ! Ce n’est pas moi... Je t'en prie, non !

- Qui d'autre qu'un monstre aurait fait ça ? Allez, réponds! Personne... Et le monstre c'est toi!

- Papaa... s'il te plaît... je jure... Elle pleurait affreusement cette petite fille. Il y avait du verre un peu partout.

- Tu ne vois pas que si je ne fais rien ça te tuera un jour ?! Il était vraiment...un monstre. C'était lui le monstre.

- Je t'en prie... La tempête semblait faire rage au dehors, à chaque fois. Des éclairs sillonnaient le ciel. La pluie et le vent se battaient et frappaient dans les fenêtres.

- Je t'aime Eve. Et il commença les coups. »

Eve était maintenant pliée sur elle même dans son lit, de sorte à former une petite boule. Des larmes coulaient sur son visage. Elle le croyait, oui, il était convainquant ... Elle était un monstre. Et encore maintenant elle l'était, seule une chose était différente; elle était la seule à le savoir. Au travers de ses larmes elle essayait de se convaincre que c'était faux, qu'elle n'était pas un monstre, mais elle en était tellement persuadée : c'était dans son sang, dans sa chair, ancré en elle comme un poison.

La lampe principale de sa chambre s'était allumée et commençait à jouer au yoyo. Elle s'éteignait et se rallumait, s'éteignait et se rallumait, s'éteignait encore... Les choses commençaient à gronder, à trembler. Mizu restait là sans bouger, à regarder le spectacle du dehors de la pièce pendant qu'Eve n'en pouvait plus de pleurer. Elle se frottait les yeux et hochait la tête frénétiquement. Le verre d'eau qu'elle avait toujours sur sa table de travail était à moitié vide et trépidait; tout bougeait comme si un tremblement de terre voulait tout avaler. Les lumières du corridor par delà la porte ouverte ne cessaient de tinter elles aussi…

Les chandelles s'éteignirent. Le vent était devenu froid. Eve tremblait et entendait les voix, des voix méchantes. Le radio se ralluma en continuant où il en était : la voix de Klaha ne faisait que redire sans cesse le mot beast. Le disque sautait, comme s'il havait le hoquet. Et dans un trop plein de rage Eve cria.

« - STOP ! Ses yeux étaient rouges, son visage mouillé. Elle semblait empreinte d'une telle détresse... »

Tout se figea. Le disque cessa de sauter, les lumières de clignoter; tout se ferma. Elle se remit tranquillement à respirer de façon normale, son pouls ralentit, sa tête essuyait un peu la douleur. Elle regarda Mizu, l'air triste et vague. Il s'approcha aussitôt, traversa la chambre et vint près d'elle. Peut-être les animaux le sentent quand nous sommes en détresse, quand nous ressentons le besoin d'être avec eux, quand nous les voulons avec nous...Tout ce qu’Eve savait pour le moment c’était que Mizu ne s'était pas enfui. Lui qui normalement se sauve au moindre bruit, même au bruit de l'eau qui coule dans un bain. Il était resté, comme un bibelot, à regarder sa maîtresse. Et au moment ou elle en avait besoin, il était venu à elle. Ce chat était décidément étrange.

Le soleil se remit à briller dehors, le nuage devait être parti. Elle caressa Mizu longuement en constatant qu'il n'y avait pas vraiment eu de dégâts, pas cette fois. Elle regarda sa table de travail sur laquelle gisaient encore quelques miettes de verres qui n'étaient pas tombées sur le plancher. Car par terre, il y en avait autant. Elle constata que c'était la lumière qui avait, disons, étrangement éclaté. Elle inspira profondément puis décida qu'il valait mieux tout ranger tout de suite, il ne valait pas la peine d'attendre et puis elle ou Mizu pourraient se blesser.

Elle alla chercher le ballai et enferma le chaton hors de la chambre afin qu'il n’écrase pas un bout de verre comme elle l’avait fait et, songeant à ce qui venait de se produire, elle ramassa les miettes dangereuses qui brillaient, éparpillées un peu partout.

« - J'en ai marre... »


( À suivre : Partie quatre - Prison Onirique )


*" Kokyuu ni kamaru chi no kaori ga koukotsu no yoru hi tadayou, senketsu ni somaru mirai no toki..." : Paroles de la chanson Beast of Blood - Malice Mizer.

  Demain se fait d'aujourd'hui
Meganyss

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10 novembre 2009
  Publié: 5 juin 2004 à 09:11 Citer vertical_align_bottom

C'est ça... moque toi :p

( Et pi... c'est pas des X-men !!!! )

Bon bon... tu verra talleur...

  Demain se fait d'aujourd'hui
Alyssia
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Ce que la voix peut cacher, le regard le livre
   
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19 juin 2004
  Publié: 5 juin 2004 à 18:01
Modifié:  5 juin 2004 à 18:02 par Alyssia
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Ohhh... Meg c'est super!
Cette nouvelle me captive vraiment après chaque lecture j'ai hâte de lire la suite.
Mizu tu l'as si bien décrit que j'ai cru le voir en fait au moment où je lisais ta nouvelle il y a un chat tigré dans les teintes de gris qui est passé juste devant mon ordi qui se trouve devant une fenêtre! non mais j'te jure c'est vrai sauf que j'ai pas eu le temps de voir la couleur de ses yeux étaient-ils verts ? je sais pas il est parti très rapidement après m'avoir lancer un coup d'oeil

Bravo ! Meg... plus tard je viendrai lire la suite où demain.

Amitiés
Bisoux
Alyssia

  Nous ne sommes nous qu'aux yeux des autres et c'est à partir du regard des autres que nous nous assumons comme nous-mêmes.
Meganyss

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10 novembre 2009
  Publié: 5 juin 2004 à 18:05 Citer vertical_align_bottom

Hihi...
Drole de chat!

Je suis contente que tu aimes cette nouvelle, j'y met beaucoup de mon temps... Et je tente de la faire du mieux possible. Si ca te plais c'est déja un pas de plus vers l'avant! Ce qui veux dire que je réussi relativement bien

  Demain se fait d'aujourd'hui
Meganyss

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  Publié: 16 juin 2004 à 18:55 Citer vertical_align_bottom

Je veux la suite! ( des commentaires biensur ^^ )

  Demain se fait d'aujourd'hui
Magik_Rune


Il est toujours possible d'espérer, et c'est justement cela qui est désespérant.
   
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  Publié: 12 sept 2004 à 16:21 Citer vertical_align_bottom

Me voilà de retour !

Pour des commentaires et pour mon Journal (si, si)... Pour les nouvelles, on verra plus tard...

Alors voilà, je reprend ma lecture où je l'avais interrompue...

"Elle se leva de moitié, s'assurant que la couverture lui cachait bien les seins"

CHEAP !

"Elle l'avait eu en cadeau de ses parents il y avait de cela environ deux mois, au moment où ses mots de têtes avaient recommencer à devenir insupportables"

Des "mots" de tête, hun ? C'est comme un vers d'eau, ça

Mais bon, je déconne là, mais j'aime bien ta nouvelle. Mon commentaire un peu négatif serait le suivant : selon moi, dans une nouvelle, il faut se concentrer sur l'essentiel. Et je ne crois pas que son pipi soit absolument nécéssaire à la compréhension de l'histoire

Enfin... Je lirai la suite éventuellement, pour l'instant, je retourne étudier (viva universita!)

Amicalement,

Guillaume, le Grand, le Magnifique, le... LUI

  À force de brûler de désir, l'être se carbonise, et les cendres viennent assécher les larmes...
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  Publié: 15 sept 2004 à 06:08 Citer vertical_align_bottom

Cheap... mdr.

Mais en fait c'est pour progresser pas trop vite dans le temps, ca peut t paraitre inutile de savoir qu'elle prends son bain le matin, ou qu'elle se brosse les dents... mais à moi ca peut me servir pour la progression du temps, ce n'est pas exactement une nouvelle... ca risque d'être assez long...

Mais bon les 3 premiers chapitres seraient les plus vides d'action, mais je voulais que la progression du temps soit ainsi... On verra si a la fin je changerai :p

Et la jvais réparer mot de tete :p loll

  Demain se fait d'aujourd'hui
Magik_Rune


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  Publié: 15 sept 2004 à 14:54 Citer vertical_align_bottom

Enfin...

Tu vois, je trouve ça assez péché de faire commencer un récit lentement, ça invite vraiment au décrochage, mais bon, si c'est conscient, c'est ton choix

Amicalement,

Guillaume

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Meganyss

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  Publié: 15 sept 2004 à 15:49 Citer vertical_align_bottom

bah jvais dire aux gens de commencer par la fin :p
Mdr

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Magik_Rune


Il est toujours possible d'espérer, et c'est justement cela qui est désespérant.
   
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  Publié: 15 sept 2004 à 22:43 Citer vertical_align_bottom

Moi, je leurs dirais de commencer par acheter le livre

Amicalement,

Guillaume

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ARABESQUES
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21 décembre 2012
  Publié: 17 mai 2009 à 00:25 Citer vertical_align_bottom

scotchée je suis. J'y retourne! la suite! La suite!

  Un grand voyage commence toujours par un...premier pas
Meganyss

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  Publié: 18 mai 2009 à 08:37
Modifié:  18 mai 2009 à 15:53 par Meganyss
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En fait, c'était mon "Alice au Pays des merveille" moderne. Un peu plus cauchemardesque que merveilleux... Avec des écarts énormes, extrêmes entre les points positifs et les points négatifs... de sorte qu'un retour à la normalité puisse être équilibré... ou pas ?

Dans la suite, la demoiselle est perdue un peu plus profondément dans le monde des rêves. Elle rencontre une vieille sorcière comme on en voit dans les animations de Hayao Miyazaki (Le château ambulant, Le château dans le ciel, Le voyage de Chihiro ...). Et elle doit passer au travers certaines épreuves pour revenir dans le monde réel. Mais elle n'y reviendra jamais qu'à moitié...

Ce qui fait qu'elle développe certains pouvoirs dans la réalité, comme on en aurait dans le monde des rêves. Réalité ou illusion ? Je ne sais pas si j'ai envie de choisir.

En tout cas je sais que j'ai encore le livre du langage que j'avais inventé pour l'occasion... et pleins de notes pour la suite... mais ça aurait besoin d'être retravaillé à partir du début. Il faudrait que j'en prenne le temps. Que je finisse cette histoire une fois pour toutes...

En tout cas je suis heureuse de savoir que ça t'a plu. J'imagine que tu seras très déçue de savoir que la suite n'est pas encore "disponible" ^^'.

Fais attention, c'est pareil pour "l'âme du monde". J'ai toutes les notes de côté mais j'ai été interrompue dans l'écriture alors je n'ai jamais pu m'y remettre. J'essaierai... De toute façon j'ai déjà les titres des autres parties et l'idée générale... il faudrait juste que je m'y replonge ^^

En tout cas... désolé pour le manque de suite. :p

bisous.

  Demain se fait d'aujourd'hui
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