Les yeux grand ouverts de l'univers me fixent
Incarnés en deux petits astres bleus
Qui se posent doucement dans la paume de ma main

Je veux fondre

J'ai noyé mes yeux dans l'océan
Pour (voir embrouillé)
Jusqu'à ce que le sel les brûle
Les désagrège et les répande par le monde

J'ai de l'espace infini dans les veines
Et des comètes qui y volent très vite

Je te contemple de loin
Comme une promesse

Je te vois comme on voit le soleil sous la surface de l'eau
Je t'entends comme un décompte avant l'explosion
Un dernier écho avant le sommeil anesthésique
T'es dans mon cœur comme un parasite

On s'y perd si facilement... Une belle cohésion...

C'est vrai qu'on s'y perd, on s'y noie, c'est comme un immense paysage
Juste une question que je me pose, pourquoi avez-vous mis des parenthèses : "(voir embrouillé)" ?

La parenthèse, je pense que c'était pour mettre en valeur le vers qui précédait. Et qui a, à mes yeux, une longue histoire...

Maxime : Je ne connaissais pas Cantat, ça me donne envie d'en connaître plus ! Merci d'être passé...


Myrtille : J'ai répondu comme je pouvais à ta question !

Ly S et Okami : Merci de nous avoir lus.



Et pi Libertad : Le plaisir est partagé... Je n'ai pas grand chose à te dire (en public.)




Huslium.

Oui.

Oui.

Oui.


(Honte à moi...)


Petite sœur de mes nuits...

D'acc. , merci pour vos réponses c'est juste que ça m'intriguait
(je relis et j'y vois encore d'autres choses)