Merci à vous, j'avoue...
ODE, effectivement, les pensées de cet homme, ne vont que vers elle, le grand amour de sa vie et dans ce court (pour une fois!) poème, j'ai encore lié l'amour à la mort, deux états que je n'arrive toujours pas à dissocier...
Lilia, oui, trace indélébile dans son esprit, qui n'espère qu'une chose, mourir, pour enfin la retrouver, cette femme, Éléonore, sa Léo...
Pluriels, oui, c'est un voyage, dans sa tête, pour un aller, définitif, que son présent devienne leur futur, à même le vent des souvenirs, sans aucun doute...
Vinie, pensée et pensée se rejoignent, ici, comme fleur de l'esprit...
André, c'est vrai que la métaphore m'autorise à lier la nature aux sentiments d'un certain désespoir, mais lucide, lié à l'absence de l'être cher et l'amour est le centre spirituel et nerveux de ce corps en manque d'affection profonde...
Cidnos, je n'ai pas été compliqué, parce que le sujet ne l'imposait pas, l'amour à mort, comme l'aurait (peut-être) soufflé Alain Resnais, à mon oreille distraite...
Amicalement vôtre...
Hubix.
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