Y songe-t-elle au premier venu qui cueillit sa rose offerte à métamorphose?
N’en fut que plus magnifiée sa chair déchirée qu’arrose d’un pleur l’ange débraillé.
Berges fleuries des rivières en crue on va y donner rendez-vous et fredonner des chansons à l’écolière attirée par l’inconnu de l’école buissonnière et l’envie de se donner tout de suite et toute entière tant elle est importunée en restant chaste rosière.
La rose est bientôt perdue au prix de douces souffrances fleur rouge emplie d’arrogance occise dans l’éperdue noce de la délivrance.
Et comme il se retirait elle lui sourit moqueuse et ben loin qu’elle l’accuse dessus elle l’attira serra ses genoux aux hanches croisant ses jambes autant fort que son amour s’épanche murmurant : « Prends-moi… longtemps ».
Bonjour Avraham, je réponds un peu tard mais si vous permettez cela m'offre l'occasion de vous souhaiter une bonne année poétique en espérant que ce ne soit trop suranné ?
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