Les mots dits, tristes vous me prenez dans vos bras, Demandant pardon ; je ne le referai pas. Et sages vous passerez au moins quelques temps, Laissant doucement partir mes écrits au vent. «Grand frère, arrêtez cela je vous en prie, C’est une liqueur qui sait détruire la vie !
Petite, il y a trois mois j’ai pu cesser, Cette fois ce n’est que pour un peu m’amuser ! »
Les mots dits, tristes vous me prenez dans vos bras, Demandant pardon ; je ne le referai pas. Et sages vous passerez au moins quelques temps, Laissant doucement partir mes écrits au vent. « Père, s’il vous plait faites attention à vous, Je ne peux vous perdre, j’aime être à votre cou !
Petite, j’aime la fumée depuis toujours, Et puis nous devrons chacun trépasser un jour ! »
Les mots dits, tristes vous me prenez dans vos bras, Demandant pardon ; je ne le referai pas. Et sages vous passerez au moins quelques temps, Laissant doucement partir mes écrits au vent. « Homme, mais ne vous laissez pas ainsi détruire, Je ne supporterai pas de vous voir mourir !
Petite, quelques jours vos termes j’ai suivis, Mais c’est dépassé, maintenant je suis guéri. »
Les tristes mots dits s’étant envolés au vent, La petite fille que je suis pleure autant. Les hommes de sa vie ne l’ont pas écoutée, Les mots étant faibles ; ils les ont oubliés.
C'est vrai que j'ai mieux cerné le sens du numéro 1 après avoir lu le numéro 2....
Mais il n'est pire sourd que celui qui ne veut pas entendre....même les plus jolis mots du monde.
Pourtant, il faut garder l'espoir que petit à petit, ils trouvent le chemin de la conscience, ils touchent le centre....ils deviennent riche de sens.
Ne renonce pas Méganyss....
PS: Le commentaire de Valter m'a beaucoup plu et je le partage.
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