J'avais trop pleuré. J'avais tari mes prières sous ce ciel de février poignardé d'un orage. Comme le mausolée d'une lueur martyre abandonnée nue au repaire des ombres.
Tu es venue, offrande de lumière concédée par ma Nuit. Il y avait des carreaux d'azur sous l'ombre de tes yeux, et l'odeur blonde de tes cheveux, baume sur la blessure.
Tu es venue, petite fille grandie sous les dalles du soleil, et prenait fin la mémoire fanée des horizons de pluie.
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