Il a fallu du temps et des larmes amères Pour cesser de hurler en te voyant sombrer Dans ces eaux épaisses dénuées de mémoire. Mais c'est une chose d'accepter de savoir Ta belle âme en lambeaux, brisée par les rochers C'en est une autre de parfois apercevoir Dans tes yeux, le retour de lueurs éphémères.
Quand j'ai vu le titre, je me suis dit : gosh ! Un de plus sur cette maladie souvent victime de lieux communs. Hé bien non ! Je trouve que ton écrit tout de pudeur et de respect est - c'est difficile à comprendre - de toute beauté. (pour des raisons persos, j'en suis plus que reconnaissant).
Amitiés Riaga....
"C'est avec la tête qu'on écrit. Si le coeur la chauffe, tant mieux, mais il ne faut pas le dire. Ce doit être un four invisible." Gustave Flaubert -
Combien j'apprécie ton poème, tes mots, cette tristesse et cette douleur de voir sans rien pouvoir faire, la lente maladie prendre possession de ceux que l'on aime. J'ai connu cela Bien amicalement ODE Un coup de coeur
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