Le printemps De son sourire de miel, Le soleil Dore les cafés ensevelis Dans leurs nuages De rêverie. C'est le printemps, Et les paysages, De leur renouveau, Fleurissent les yeux. Bientôt, Les parades d'amour Et leurs regards de velours Habilleront les forêts. Allant chercher sa dulcinée Près de l'étang aux eaux claires, Le crapaud Attend le baiser de lumière Qui lui fera quitter ses oripeaux : C'est pourquoi, avec le printemps Fleurissent de nombreux princes charmants
Que se multiplient les princes charmants. Pauvre crapaud, reste digne malgré les regards qui te fuient, la beauté est souvent cachée. Sous les oripeaux se dissimule souvent un coeur aimant. ODE
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