Rauque est la voix des pensées qui l'habitent ; Troublée, ma vision, sur un air de chanson Fausse est la joie de nos clefs sans musique Rejouées sur un ton que dessert la passion
D'autres, en mon âme, ballottées, qui résistent Gravées sur les gonds où se perd la raison Faute en nos blâmes sur nos doigts guitaristes Brisées d'un rayon sur la mer d'un frisson
Glauque est la soie azurée que l'on tisse Février pardon pour l'hiver qui s'y fond Gauche est le droit dans nos guerres sans risque Gagnées sur nos ponts fait de fières illusions
Rauque est la voix des pensées qui m'attristent Armées de glaçon sur les pierres des maisons D'autres sont fois de l'aimé qui subsiste Posées de façon à faire taire les questions.
Martin
Avec l'ombre d'une épée tous les coups sont permis
Bravo mon ami, un beau poème qui mérite d'être lu,
Rauque est la voix des pensées qui m'attristent Armées de glaçon sur les pierres des maisons D'autres sont fois de l'aimé qui subsiste Posées de façon à faire taire les questions.
Saldday: Je vais bien ne t'en fait pas...et toutes ces questions que je me pose sont essentiels...quand je trouve ne serais ce qu'une réponse pour cent questions cela m'aide à découvrir une nouvelle part de moi même et du même coup...de ceux qui m'entourent.
Merci encore pour le commentaire.
Flore:Content d'avoir pu t'émouvoir...trame illusoire de questions bien réelles. Je veux te souligner que tes passages sous mes poèmes sont une référence me guidant vers une meilleur poésie.
Okana: Merci ...Si il mérite que tu y laisse ta trace c'est tout à mon honneur.
Yann: Je suis content de lire ça surtout que le commentaire vient d'un poète qui fait résonner les vers sur les quatre murs de LPDP.
L'insoumise: Merci à toi.
Edna: Merci d'être passé
Bon j'espère que je n'ai pas oublié personne.
Et encore merci à vous tous.
Martin.
Avec l'ombre d'une épée tous les coups sont permis
J'ai eu l'impression que ce n'était qu'une question de rimes. Des effets de styles. Mais en fait, non. C'est une succession fluide, musicale, d'images éthérées, sombres ou illuminées...
Bravo. J'ai lu. Et relu. Et la deuxième lecture a été bien plus belle que la première.
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